MICROBIOTE ET SELLES

Lorsque le côlon est sain et fonctionne normalement, l’assimilation se fait sans retard, sans excès de fermentation, ni de putréfaction. Les selles sont quotidiennes, faciles à évacuer et peu odorantes.

Catherine Kousmine y attachait une grande importance. Je cite :

“La selle normale de l’homme doit avoir la forme d’une saucisse épaisse de 4 cm et longue de 15 à 20 cm. Sa couleur, brun clair ou brun foncé, est essentiellement déterminée par sa teneur en pigments biliaires, accessoirement par certains aliments (épinards, cacao, myrtilles, carottes, betteraves, etc).

Dans le régime lacto-végétarien, la selle est plus claire ; dans le régime carné, plus foncée. La première partie d’une selle normale est bosselée, le reste est lisse ; elle est revêtue d’un peu de mucus transparent. L’odeur en est faible, déterminée par la présence de scatol et d’indol, corps chimiques produits par les bactéries à partir de l’acide aminé tryptophane, échappé à l’assimilation. Une odeur forte ou acide est anormale.

Chez l’homme, tout comme chez le cheval, le chien, le chat, etc, la selle normale ne salit pas l’anus au passage. On ne devrait jamais employer plus d’une feuille de papier hygiénique pour s’essuyer et ce dernier devrait rester propre ou au plus recueillir des traces de mucus.”

Le rythme des selles et leur consistance nous permettent donc d’avoir une indication précise et très facile de notre bon état intestinal et d’une alimentation correcte. Tout le monde sait qu’une diarrhée est anormale et qu’il faut y remédier. Mais des selles collantes sont anormales également et encrassent le côlon, elles témoignent de la nécessité d’une correction alimentaire.
La nature nous informe immédiatement de ce qui n’est pas juste pour l’organisme, sachons y être attentifs pour corriger les choses avant que la maladie n’apparaisse.

Le couple foie-intestin

Le foie reçoit, par la veine porte, le sang provenant de l’intestin et chargé des éléments nutritifs, les ganglions lymphatiques reçoivent la lymphe de provenance intestinale. Ils fonctionnent à la façon de filtres, et s’ils peuvent arrêter et neutraliser les germes et les toxines, tout se passe bien.

Le travail du foie est considérable, il stocke, transforme, distribue les différentes substances apportées par le sang. Si le sang venu de l’intestin est trop chargé de toxines acides, le foie devra filtrer et neutraliser ces impuretés avant de redistribuer le sang à l’organisme. Le foie alors surchargé gonfle et se congestionne, entraînant d’abord des désordres d’ordre statique (douleurs lombaires), puis peu à peu débordé, ne peut plus faire face et laisse passer dans le sang des substances indésirables, sources de maladies.

Pour parer à cette auto-intoxication depuis l’intestin via le foie, l’organisme réagit :

  • par une mobilisation des globules blancs vers l’intestin, rendant les autres organes plus vulnérables,
  • grâce à différents organes, dits émonctoires* de secours, qui vont prendre le relais du foie pour éliminer les toxines acides. Ces organes sont les reins, la peau, l’intestin, les poumons, la sphère ORL, les articulations (dans lesquelles les acides vont se déposer). Peu à peu des pathologies apparaissent, d’abord aiguës, puis chroniques, et enfin les maladies graves.

 Le rôle immunitaire de l’intestin

L’intestin est un organe immunitaire de premier ordre. Il héberge la plus grande fabrique d’immunoglobulines, 70 à 80 % de nos défenses immunitaires sont initiées au niveau intestinal (par exemple l’appendice et les plaques de Peyer qui produisent en particulier les IgA qui défendent la sphère ORL chez l’enfant surtout).
Beaucoup de cellules immunologiques acquièrent leur compétence dans l’intestin, compétence qui sera exercée dans tous les tissus du corps, pas seulement dans l’intestin.

S’il y a prolifération microbienne au niveau intestinal, le système immunitaire est surmené, libérant de ce fait des formes immatures partiellement incompétentes. Les produits de dégradation des microbes et les complexes antigènes anticorps sont alors inhabituels, irritants, produisant leurs lots d’inflammations chroniques ou de maladies auto-immunes.

On comprend alors l’utilité du lavement devant toute maladie même si elle ne semble pas directement liée à l’appareil digestif. Un intestin propre permet de décharger le foie et de libérer les défenses immunitaires.

 Ainsi devant une fièvre qui débute, souvent un simple lavement coupe court à toute maladie qui s’installe, en libérant le système immunitaire.
Dans les pathologies plus graves, l’hygiène intestinale associée à une réforme alimentaire aidera l’organisme à “débrayer” la maladie et à se mobiliser pour aider l’organisme à rétablir l’ordre.
Bien sûr, en préventif, une alimentation correcte, associée à une bonne hygiène intestinale, permettra le maintien d’une bonne santé en limitant l’intoxication inévitable due à la pollution extérieure, qu’elle soit alimentaire ou environnementale.

Ne vous culpabilisez pas lorsque vous avez fait un mauvais repas, par obligation ou par plaisir, mais le lendemain faites un lavement, suivi éventuellement d’une mono-diète au riz ou pommes, un excellent moyen de remettre rapidement les choses en ordre.

Catherine Kousmine insistait sur le fait que, si la façon de se nourrir est la principale cause d’un mauvais fonctionnement de l’intestin, la réforme alimentaire ne suffit pas. Une personne qui se nourrit mal pendant des années, devra certes réformer son alimentation, mais aucune affection chronique ne disparaîtra tant que le côlon ne sera pas nettoyé par des lavements rectaux réguliers, pendant une durée suffisante.

Peu de gens ont un transit normal, c’est-à-dire 1 à 2 selles par jour sans forcer. Ainsi les déchets se déposent et tapissent la paroi intestinale à certains endroits. Selon Irons : “ces dépôts de matières fécales peuvent atteindre 1 cm d’épaisseur et avoir la consistance d’un pneu”. Ces déchets à la longue empêchent l’absorption et la pénétration dans l’organisme des vitamines et des sels minéraux. Ainsi les troubles intestinaux chroniques peuvent être à l’origine de carences nutritionnelles, malgré une nourriture appropriée.

Il serait donc dommage de remettre en cause son alimentation, de prendre des vitamines et des nutriments, et d’en limiter l’efficacité parce qu’on néglige le nettoyage de son intestin.

 Ne confondons pas les lavements avec les laxatifs évacuateurs vendus en pharmacie

Le lavement, tel que nous le définissons, n’est pas une technique réservée à ceux qui sont constipés et il n’est pas un traitement de la constipation. Bien évidemment les personnes souvent constipées tireront des grands bénéfices du lavement pour nettoyer un côlon encrassé par cette constipation et lui permettre de retrouver une plasticité et une bonne motricité. Les laxatifs sont définis comme un traitement symptomatique de la constipation basse, et il est toujours précisé qu’un usage prolongé est déconseillé.

Nous n’entrerons pas ici dans le détail des différents types de laxatifs, mais selon leur mécanisme d’action, ils finissent par perturber complètement le transit intestinal, ils entraînent une accoutumance qui risque de devenir une dépendance physiologique. Ils irritent la muqueuse qui s’enflamme provoquant une colite, et souvent une alternance de diarrhées et de constipation avec une fuite hydrique accompagnée d’une perte d’oligo-éléments et de sels minéraux, principalement de potassium.

Le lavement ne crée pas d’accoutumance, c’est une mesure d’hygiène toute naturelle, le tube digestif étant en contact avec l’extérieur bien plus que la peau.

Il n’y a aucun danger à pratiquer des lavements rectaux fréquents et longtemps. La pression d’eau n’est jamais forte, on ne peut risquer de perforer la paroi du côlon. Bock en vente sur internet ou en pharmacie environ 15 euros

 L‘intestin est le Principal Organe chargé d’éliminer les Toxines et Substances Métaboliques du corps

Si votre côlon est sain vous :

  • Absorbez les nutriments de façon optimale
  • Eliminez efficacement des déchets produits par l’organisme
  • Hydratez plus facilement votre corps
  • Synthétisez les nutriments essentiels
  • Avez une défense active contre les toxines environnantes

Pour assurer correctement ses fonctions, le côlon sain a besoin d’un bon équilibre nerveux et émotionnel, d’une alimentation saine et naturelle, d’une flore intestinale équilibrée et d’une bonne musculature abdominale pour son maintien. C’est la raison pour laquelle les spécialistes recommandent des nettoyages intestinaux réguliers.

Si votre côlon est intoxiqué vous êtes sujet à :

  • Des tensions émotionnelles dans le ventre
  • Un encrassement du système digestif qui devient paresseux
  • Une faiblesse immunitaire favorable à l’invasion de virus et bactéries pathogènes
  • Des dépressions et une perte de confiance en soi
  • Une prise de poids inexpliqué,
  • Une fatigue généralisée.

Un côlon intoxiqué est capable d’emmagasiner jusqu’à plusieurs dizaines de kilos de matières résiduelles dans les coudes et replis formés !

Selon Dr. Bernard Jensen, expert mondialement reconnu pour ses recherches en santé :

« L’anus et le côlon des personnes de plus de 40 ans sont généralement en surcharges de 2 à 12 kg. Ces matières superposées dans le système digestif, qui auraient être normalement éliminé par les selles, contiennent des quantités importantes de parasites qui intoxiquent peu à peu leur hôte. »

De plus, ces stagnations produisent une putréfaction toxique dont la muqueuse ne peut malheureusement pas contenir indéfiniment… Peu à peu les toxines traversent votre intestin et circulent librement dans le corps pour engorger les autres filtres tels que le foie, les reins, les ganglions lymphatiques et autres…

Parmi ces matières résiduelles vous retrouvez notamment des cellules mortes produites naturellement par la muqueuse intestinale (toutes les 48 heures). Un côlon intoxiqué est incapable d’éliminer efficacement ces résidus qui s’accumulent au fil du temps, sur ses parois intestinales, en couches successives allant jusqu’à former des rubans parfois longs de plusieurs mètres !

Ainsi l’accumulation des « peaux mortes » accentue le déséquilibre de l’écosystème intestinal, ce qui développe une flore de putréfaction qui elle-même libère des toxines nocives dans tout l’organisme.

MICROBIOTE ET SELLES

Lorsque le côlon est sain et fonctionne normalement, l’assimilation se fait sans retard, sans excès de fermentation, ni de putréfaction. Les selles sont quotidiennes, faciles à évacuer et peu odorantes.

Catherine Kousmine y attachait une grande importance. Je cite :

“La selle normale de l’homme doit avoir la forme d’une saucisse épaisse de 4 cm et longue de 15 à 20 cm. Sa couleur, brun clair ou brun foncé, est essentiellement déterminée par sa teneur en pigments biliaires, accessoirement par certains aliments (épinards, cacao, myrtilles, carottes, betteraves, etc).

Dans le régime lacto-végétarien, la selle est plus claire ; dans le régime carné, plus foncée. La première partie d’une selle normale est bosselée, le reste est lisse ; elle est revêtue d’un peu de mucus transparent. L’odeur en est faible, déterminée par la présence de scatol et d’indol, corps chimiques produits par les bactéries à partir de l’acide aminé tryptophane, échappé à l’assimilation. Une odeur forte ou acide est anormale.

Chez l’homme, tout comme chez le cheval, le chien, le chat, etc, la selle normale ne salit pas l’anus au passage. On ne devrait jamais employer plus d’une feuille de papier hygiénique pour s’essuyer et ce dernier devrait rester propre ou au plus recueillir des traces de mucus.”

Le rythme des selles et leur consistance nous permettent donc d’avoir une indication précise et très facile de notre bon état intestinal et d’une alimentation correcte. Tout le monde sait qu’une diarrhée est anormale et qu’il faut y remédier. Mais des selles collantes sont anormales également et encrassent le côlon, elles témoignent de la nécessité d’une correction alimentaire.
La nature nous informe immédiatement de ce qui n’est pas juste pour l’organisme, sachons y être attentifs pour corriger les choses avant que la maladie n’apparaisse.

Le couple foie-intestin

Le foie reçoit, par la veine porte, le sang provenant de l’intestin et chargé des éléments nutritifs, les ganglions lymphatiques reçoivent la lymphe de provenance intestinale. Ils fonctionnent à la façon de filtres, et s’ils peuvent arrêter et neutraliser les germes et les toxines, tout se passe bien.

Le travail du foie est considérable, il stocke, transforme, distribue les différentes substances apportées par le sang. Si le sang venu de l’intestin est trop chargé de toxines acides, le foie devra filtrer et neutraliser ces impuretés avant de redistribuer le sang à l’organisme. Le foie alors surchargé gonfle et se congestionne, entraînant d’abord des désordres d’ordre statique (douleurs lombaires), puis peu à peu débordé, ne peut plus faire face et laisse passer dans le sang des substances indésirables, sources de maladies.

Pour parer à cette auto-intoxication depuis l’intestin via le foie, l’organisme réagit :

  • par une mobilisation des globules blancs vers l’intestin, rendant les autres organes plus vulnérables,
  • grâce à différents organes, dits émonctoires* de secours, qui vont prendre le relais du foie pour éliminer les toxines acides. Ces organes sont les reins, la peau, l’intestin, les poumons, la sphère ORL, les articulations (dans lesquelles les acides vont se déposer). Peu à peu des pathologies apparaissent, d’abord aiguës, puis chroniques, et enfin les maladies graves.

 Le rôle immunitaire de l’intestin

L’intestin est un organe immunitaire de premier ordre. Il héberge la plus grande fabrique d’immunoglobulines, 70 à 80 % de nos défenses immunitaires sont initiées au niveau intestinal (par exemple l’appendice et les plaques de Peyer qui produisent en particulier les IgA qui défendent la sphère ORL chez l’enfant surtout).
Beaucoup de cellules immunologiques acquièrent leur compétence dans l’intestin, compétence qui sera exercée dans tous les tissus du corps, pas seulement dans l’intestin.

S’il y a prolifération microbienne au niveau intestinal, le système immunitaire est surmené, libérant de ce fait des formes immatures partiellement incompétentes. Les produits de dégradation des microbes et les complexes antigènes anticorps sont alors inhabituels, irritants, produisant leurs lots d’inflammations chroniques ou de maladies auto-immunes.

On comprend alors l’utilité du lavement devant toute maladie même si elle ne semble pas directement liée à l’appareil digestif. Un intestin propre permet de décharger le foie et de libérer les défenses immunitaires.

 Ainsi devant une fièvre qui débute, souvent un simple lavement coupe court à toute maladie qui s’installe, en libérant le système immunitaire.
Dans les pathologies plus graves, l’hygiène intestinale associée à une réforme alimentaire aidera l’organisme à “débrayer” la maladie et à se mobiliser pour aider l’organisme à rétablir l’ordre.
Bien sûr, en préventif, une alimentation correcte, associée à une bonne hygiène intestinale, permettra le maintien d’une bonne santé en limitant l’intoxication inévitable due à la pollution extérieure, qu’elle soit alimentaire ou environnementale.

Ne vous culpabilisez pas lorsque vous avez fait un mauvais repas, par obligation ou par plaisir, mais le lendemain faites un lavement, suivi éventuellement d’une mono-diète au riz ou pommes, un excellent moyen de remettre rapidement les choses en ordre.

Catherine Kousmine insistait sur le fait que, si la façon de se nourrir est la principale cause d’un mauvais fonctionnement de l’intestin, la réforme alimentaire ne suffit pas. Une personne qui se nourrit mal pendant des années, devra certes réformer son alimentation, mais aucune affection chronique ne disparaîtra tant que le côlon ne sera pas nettoyé par des lavements rectaux réguliers, pendant une durée suffisante.

Peu de gens ont un transit normal, c’est-à-dire 1 à 2 selles par jour sans forcer. Ainsi les déchets se déposent et tapissent la paroi intestinale à certains endroits. Selon Irons : “ces dépôts de matières fécales peuvent atteindre 1 cm d’épaisseur et avoir la consistance d’un pneu”. Ces déchets à la longue empêchent l’absorption et la pénétration dans l’organisme des vitamines et des sels minéraux. Ainsi les troubles intestinaux chroniques peuvent être à l’origine de carences nutritionnelles, malgré une nourriture appropriée.

Il serait donc dommage de remettre en cause son alimentation, de prendre des vitamines et des nutriments, et d’en limiter l’efficacité parce qu’on néglige le nettoyage de son intestin.

 Ne confondons pas les lavements avec les laxatifs évacuateurs vendus en pharmacie

Le lavement, tel que nous le définissons, n’est pas une technique réservée à ceux qui sont constipés et il n’est pas un traitement de la constipation. Bien évidemment les personnes souvent constipées tireront des grands bénéfices du lavement pour nettoyer un côlon encrassé par cette constipation et lui permettre de retrouver une plasticité et une bonne motricité. Les laxatifs sont définis comme un traitement symptomatique de la constipation basse, et il est toujours précisé qu’un usage prolongé est déconseillé.

Nous n’entrerons pas ici dans le détail des différents types de laxatifs, mais selon leur mécanisme d’action, ils finissent par perturber complètement le transit intestinal, ils entraînent une accoutumance qui risque de devenir une dépendance physiologique. Ils irritent la muqueuse qui s’enflamme provoquant une colite, et souvent une alternance de diarrhées et de constipation avec une fuite hydrique accompagnée d’une perte d’oligo-éléments et de sels minéraux, principalement de potassium.

Le lavement ne crée pas d’accoutumance, c’est une mesure d’hygiène toute naturelle, le tube digestif étant en contact avec l’extérieur bien plus que la peau.

Il n’y a aucun danger à pratiquer des lavements rectaux fréquents et longtemps. La pression d’eau n’est jamais forte, on ne peut risquer de perforer la paroi du côlon. Bock en vente sur internet ou en pharmacie environ 15 euros

 L‘intestin est le Principal Organe chargé d’éliminer les Toxines et Substances Métaboliques du corps

Si votre côlon est sain vous :

  • Absorbez les nutriments de façon optimale
  • Eliminez efficacement des déchets produits par l’organisme
  • Hydratez plus facilement votre corps
  • Synthétisez les nutriments essentiels
  • Avez une défense active contre les toxines environnantes

Pour assurer correctement ses fonctions, le côlon sain a besoin d’un bon équilibre nerveux et émotionnel, d’une alimentation saine et naturelle, d’une flore intestinale équilibrée et d’une bonne musculature abdominale pour son maintien. C’est la raison pour laquelle les spécialistes recommandent des nettoyages intestinaux réguliers.

Si votre côlon est intoxiqué vous êtes sujet à :

  • Des tensions émotionnelles dans le ventre
  • Un encrassement du système digestif qui devient paresseux
  • Une faiblesse immunitaire favorable à l’invasion de virus et bactéries pathogènes
  • Des dépressions et une perte de confiance en soi
  • Une prise de poids inexpliqué,
  • Une fatigue généralisée.

Un côlon intoxiqué est capable d’emmagasiner jusqu’à plusieurs dizaines de kilos de matières résiduelles dans les coudes et replis formés !

Selon Dr. Bernard Jensen, expert mondialement reconnu pour ses recherches en santé :

« L’anus et le côlon des personnes de plus de 40 ans sont généralement en surcharges de 2 à 12 kg. Ces matières superposées dans le système digestif, qui auraient être normalement éliminé par les selles, contiennent des quantités importantes de parasites qui intoxiquent peu à peu leur hôte. »

De plus, ces stagnations produisent une putréfaction toxique dont la muqueuse ne peut malheureusement pas contenir indéfiniment… Peu à peu les toxines traversent votre intestin et circulent librement dans le corps pour engorger les autres filtres tels que le foie, les reins, les ganglions lymphatiques et autres…

Parmi ces matières résiduelles vous retrouvez notamment des cellules mortes produites naturellement par la muqueuse intestinale (toutes les 48 heures). Un côlon intoxiqué est incapable d’éliminer efficacement ces résidus qui s’accumulent au fil du temps, sur ses parois intestinales, en couches successives allant jusqu’à former des rubans parfois longs de plusieurs mètres !

Ainsi l’accumulation des « peaux mortes » accentue le déséquilibre de l’écosystème intestinal, ce qui développe une flore de putréfaction qui elle-même libère des toxines nocives dans tout l’organisme.